« Empathie et une Troisième Possibilité ». - Enseignant Samuel.

[Sandy]

Illawarra District, Australie. Le 22 août 2004.
Enseignant Samuel.
Sujet : « Empathie et une Troisième Possibilité ».

Reçu par George Barnard.

Samuel : « C’est ton enseignant, Samuel. Cela me réjouit le cœur d’avoir l’occasion une fois encore de transmettre avec toi, et de voir ces leçons adressées à beaucoup d’autres. Ici, avec moi il y en a quelques-uns qui sont bien intéressés à observer comment cette leçon sera reçue et acceptée, et la justesse avec laquelle nous transmettons nos enseignements à ton mental qui est prêt, à voir le résultat final, peut-être avoir davantage d’incitations lorsque tu transcrits notre travail de coopération avec tes amis Médians. [voir la note] Cette courte leçon parle de l’Empathie.

C’est au cours de votre vie humaine, ce point de départ très important des marathons éternels que vous effectuerez, que les qualités les plus importantes de votre caractère, les dotations de votre personnalité, celles qui sont données librement à tous par le Père Créateur, seront renforcées, affinées, mûries. C’est ici, également, au cours de votre vie terrestre que vous apprendrez à défaire, que vous apprendrez à surmonter, et idéalement à devenir les vainqueurs de vos faiblesses de naissance et de celles acquises, à faire de vos marathons des succès retentissants.

Bien que nous ne nous attendions pas à ce que chacun de vous devienne le vainqueur incontesté de la médaille d’or de cette course, nous désirons certainement que vous franchissiez tous à un moment donné, la ligne finale de la fusion avec le Fragment du Père. Un des dons le plus grand et le plus important dont vous pourriez être dotés dans le cadre de votre capacité primordiale d’aimer, est l’Empathie, comme nous allons à présent le voir en détail. L’Empathie peut en partie être un don naturel, et elle peut également être - et elle l’est souvent - acquise, apprise, cultivée et améliorée.

Votre imagination, lorsque vous êtes les témoins d’une souffrance, vous permettra de vous mettre à la place de celui qui souffre. Même lorsque vous êtes encore jeunes, vous pouvez momentanément voir une personne d’un âge bien avancé comme étant vous, vous-même étant celui qui souffre. C’est de l’empathie, et pas de la pitié en soi. Lorsque vous êtes plus âgés, de la même façon, la joie évidente d’un enfant peut s’inscrire dans votre mental comme faisant personnellement l’expérience de la joie. C’est de l’empathie, de la sympathie, et c’est également une mesure ou une réflexion de votre capacité à aimer et de votre croissance d’âme.

C’est votre ‘‘cœur et âme’’ qui répond instantanément et intuitivement, même avant qu’une réalisation consciente de vos sentiments exacts soit enregistrée. En fait, vous pouvez ne jamais devenir pleinement conscients des sentiments précis dont vous faites l’expérience aux niveaux les plus profonds de l’âme.

Il est sain d’avoir et d’utiliser ce don d’empathie ; il est malsain de s’attarder sur la souffrance de quelqu’un d’autre pendant des périodes prolongées, et vous devez plutôt en rechercher des solutions. Et même si aucun remède matériel immédiat ne peut être trouvé, il y a le Père à qui l’on peut adresser une prière, et demander à ce que la souffrance soit rendue plus supportable, mais toujours que Sa volonté soit faite à Sa manière.

Ne vous attendez pas, mes amis, à de nombreux miracles sortant de nulle part, mais sachez que le Père possède d’innombrables aides qualifiés parmi Sa progéniture Angélique et les Médians, Ses Chérubins et même Ses Porteurs de Vie, pouvant être appelés à l’action. C’est pourquoi, une action de votre part ou une prière sincère pour Son aide, est une solution préférable à celle consistant à souffrir avec celui qui souffre, comme le font certains ‘‘empathes’’ extrêmes.

Comme la plupart des traits de caractère, l’empathie, qu’elle soit un don inné ou développé, requiert souvent un équilibre ou un raffinement. Là où elle est absente, ou presque absente, il reste cependant une troisième possibilité. Vous pouvez prier pour la réception de ce trait de caractère supplémentaire comme un don tout à fait nouveau, car souvenez-vous toujours que vous êtes là sur cette terre afin de vous préparer avec une large assistance à la longue course vers la vie éternelle, et pendant ce temps vous pouvez demander, puis recevoir.

C’est Samuel, toujours au service de Micaël, à votre service. Je vous quitte à présent. »

Note : Cette transmission représentait effectivement un effort de mise en route, et j’ai eu besoin de l’aide de Médians pour ‘‘la recevoir correctement’’ à certains moments. Fatigue.

Traduction française : Akentoh

© 11:11 Progress Group.
Toujours au Service de Michael.
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